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Norah en live / Re : Concert à Lille le 12 novembre 2016
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Le Sébastopol dans l’intimité jazzy de Norah Jones, l’enchanteresse

La voix hypnotique de la chanteuse américaine et ses ballades souvent mélancoliques ont, samedi soir, envoûté le public lillois. La fille de Ravi Shankar s’impose vraiment comme une très grande dame du jazz vocal.

Quatorze ans après le raz-de-marée de son premier album écoulé à plus de 25 millions d’exemplaires à travers le monde, Norah Jones réussit la gageure de n’avoir pas encore fini de grandir. Quand elle pénètre, samedi soir, dans une salle bondée, son sourire éclate déjà d’un bonheur communicatif. Robe noire, ceinture et escarpins rouges, la New-Yorkaise s’installe direct derrière son piano, son instrument de prédilection qu’elle avait pourtant délaissé depuis une décennie.

Bienvenue en boîte de jazz. La figure du prestigieux label de jazz Blue Note assure. À ses côtés, les quatre musiciens qui ponctuent le tempo ne sont pas des manchots et construisent les fondations. L’artiste, elle, démultiplie les styles. Du jazz au folk, elle fait des détours par la pop et des rythmes dont on sent clairement l’influence country. On ne se refait pas.

Ses mélodies coulent d’une source enchantée

Dix chansons plus tard, elle remet en route sa machine à charmer en empoignant une guitare  acoustique d’abord puis électrique. Tombe alors l’inévitable Come away with me. Le public apprécie. Entre deux titres, elle dit merci beaucoup, en français. La grâce et la beauté de son visage éclatent sous les sunlights. Ses mélodies coulent d’une source enchantée. L’émotion est au rendez-vous. Soudain, un groove plus musclé vient rappeler que Norah Jones sait aussi pimenter ses recettes. Ce n’est pas pour rien que la donzelle, deuxième fois maman en juillet, a déjà chanté avec Ray Charles et le récent prix Nobel, Bob Dylan.


source : http://www.lavoixdunord.fr/73491/article/2016-11-13/le-sebastopol-dans-l-intimite-jazzy-de-norah-jones-l-enchanteresse
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Articles de sites web / [Le Progrès] Norah Jones : le parcours sans fausse note d’une trentenaire du jaz
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Norah Jones : le parcours sans fausse note d’une trentenaire du jazz

La New-yorkaise débute à Lyon la tournée de son dernier album Day breaks. Elle sera ce vendredi à l’Amphithéâtre.

Après avoir été abandonnée à l’âge de 9 ans par son père, le sitariste indien Ravi Shankar, Geetali Norah Jones-Shankar a grandi dans la banlieue de Dallas, au côté de sa mère, la productrice américaine Sue Jones. Bercée par le jazz et la soul que sa mère affectionne, la jeune adolescente s’initie au piano et chante dans la chorale de l’église.

À 20 ans, Norah revient à New York, sa ville natale. Passant du rôle de serveuse à celui d’artiste dans les pianos-bar de Greenwich Village, le soir elle égraine ses compositions personnelles accompagnée du bassiste Lee Alexander, son compagnon à la scène comme à la ville. Norah américanise son patronyme, pour ne pas faire carrière sous la tutelle de son père.

Une voix de velours teintée de soul, de jazz et de folk

Repérée par Bruce Lundvall, le patron du label Blue Note, au printemps 2002, la chanteuse sort son premier album Come away with me. Norah Jones obtient aussitôt les faveurs du grand public. Avec sa voix de velours teintée de soul, de jazz et de folk, la New-yorkaise s’impose dans le cercle restreint des chanteuses dont on aime fredonner les chansons. Magnifique exploit à 23 ans. Vendu à plus de 29 millions d’exemplaires, l’album obtient le titre suprême d’album de diamant. Deux ans plus tard, Norah enregistre son second disque, Feels like home. Un album au succès plus modeste qui se vendra tout de même à plus de 10 millions d’exemplaires.

Sa voix divine nous plonge dans un univers musical onirique. Suivra, en 2007, Not to late , subtil assemblage de mélodies acoustiques à la noirceur inattendue. Cette même année, la chanteuse fait ses débuts au cinéma dans le road-movie de Wong Kar-wai, My Blueberry Nights , avec Jude Law et Natalie Portman. En 2009, l’icône jazz pop enregistre The fall , un album plus rock. Après sa séparation avec le bassiste Lee Alexander, arrive, en 2012, Little Broken hearts et ses ballades qui racontent la rupture, la trahison, l’amertume et la vengeance. La voix atteint une profondeur et une intensité nouvelle. Depuis, mère de deux enfants, la belle brune repart sur les routes pour défendre son dernier CD, Day breaks.

source:  http://www.leprogres.fr/lyon/2016/11/10/norah-jones-le-parcours-sans-fausse-note-d-une-trentenaire-du-jazz
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Articles de sites web / [LE COURRIER DU SUD] L'album de Norah Jones qu'on n'attendait plus
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L'album de Norah Jones qu'on n'attendait plus


En 2002, une nouvelle venue sur la scène de la pop jazz créait la surprise en lançant Come Away With Me, un album qui s'est écoulé à plus de 27 millions d'exemplaires à travers le monde. Sans s'y être préparée, Norah Jones était propulsée au sommet des palmarès. Une nouvelle vedette était née.

La fille de Ravi Shankar, ce grand maître du sitar décédé en 2012, a par la suite tenté de renouer avec ce moment de gloire, mais avec des résultats mitigés. Elle a eu beau multiplier les collaborations et effectuer quelques virages musicaux dans l'espoir de charmer un nouveau public que ça n'a rien changé à son succès qui commençait à s'étioler.

Cette Américaine de 37 ans, mère de deux jeunes enfants, a finalement pris la décision de renouer avec ses racines en lançant, le 7 octobre dernier, un album qui nous rappelle ses débuts si prometteurs. Les fans de la première heure vont adorer.

C'est sur la prestigieuse étiquette de jazz Blue Note qu'elle revient à cette formule qui lui va comme un gant. On parle ici de chansons suaves et envoûtantes. D'une pop jazz qui s'écoute simplement en diverses circonstances. C'est dans un tel environnement sonore que Norah Jones s'illustre le mieux. Encore plus lorsqu'elle s'accompagne au piano.

Il faut vous dire qu'elle n'a pas lésiné sur les moyens pour produire cet album qu'on n'attendait plus. Elle a entre autres fait appel à Wayne Shorter, saxophoniste du groupe Weather Report, pour illuminer ses nouvelles mélodies qu'on apprivoise en un rien de temps. Norah Jones a également retenu les services de Brian Blade (batterie) et Dr. Lennie Smith (claviers), deux autres grandes pointures du jazz qui n'ont sans doute plus besoin de présentation.

Elle nous offre de nouvelles compositions, mais aussi des reprises de chansons écrites par Neil Young, Duke Ellington et Horace Silver. Après quelques écoutes, il serait étonnant que vous ne tombiez pas en amour avec ce CD qu'on écoute en boucle depuis son lancement. C'est ce qui se rapproche le plus de ce grand album qui nous l'a fait découvrir il y a 14 ans déjà.

source: http://www.lecourrierdusud.ca/art-de-vivre/societe/2016/10/15/l-album-de-norah-jones-qu-on-n-attendait-plus.html
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Articles de sites web / [FRANCE INTER] Norah Jones de retour aux sources
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Norah Jones de retour aux sources

Norah Jones était l’invitée d’Augustin Trapenard à l’occasion de la sortie de son nouvel album Day Breaks

Une artiste discrète qui sait se faire désirer. Depuis Come Away With Me en 2002, Norah Jones continue de tracer son chemin avec six albums publiés et des concerts qui affichent complets. Cinquante millions d’albums vendus plus tard, et neuf Grammy Awards, la musicienne fait son retour avec Day Breaks. Dans ce nouvel opus, la jazz-woman propose un retour aux sources. Le premier single, Carry On, en est la preuve avec un piano-voix efficace et épuré.

La tracklist de ce DayBreaks comprend douze titres –dont neuf originaux- et trois reprises : Fleurette Africaine, Peace de Horace Silver et Don’t Be Denied de Neil Young. Au micro d’Augustin Trapenard, l’artiste est revenue sur les différences entre son nouvel opus, et Little Broken Hearts, son dernier album sorti en 2012 et alors produit par Danger Mouse.

Du côté de la musique, la chanteuse s'est entourée de quelques grands noms du jazz comme le saxophoniste Wayne Shorter, l'organiste Lonnie Smith ou bien encore le batteur Brian Blade. Concernant les textes, et si dans le morceau Flipside, elle chante " écarte ton arme, ou nous allons tous perdre", elle ne souhaite pas s'engager politiquement.

Dans les prochaines semaines, Norah Jones sera également de retour sur scène pour promouvoir et présenter ses nouvelles compositions. Dans Boomerang, la chanteuse s'est également expliquée sur sa vision de l'interprétation d'une chanson.

Au micro d'Augustin Trapenard, Norah Jones s'est également prêtée au jeu en fin d'émission. Elle a accepté de chanter la comptine qu'elle a pour habitude de chanter à ses enfants : A bicycle built for two !

source: https://www.franceinter.fr/culture/norah-jones-de-retour-aux-sources

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Articles de sites web / [LA CROIX] Norah Jones, l’enchanteresse
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Norah Jones
, l’enchanteresse

La chanteuse américaine au timbre voilé et subtil revient en France présenter un album abouti, et donner quelques concerts.

Il y a quelque chose d’hypnotique dans le chant de ­Norah Jones. Dès ses débuts, en 2002, avec Come away with me, qu’elle qualifia alors de « petit disque mélancolique », elle s’est imposée comme une enchanteresse du jazz vocal.

Son père, le joueur de sitar Ravi Shankar, décédé en 2012, disait, à propos de Don’t know why, son premier tube, « sa chanson se glisse dans vos oreilles et ne vous quitte plus ». Son timbre voilé et subtil, son style intimiste donnent à chacun de ses auditeurs l’impression, qu’assise à proximité, elle s’adresse à lui seul.


Aujourd’hui, à 37 ans, avec à son actif cinq disques vendus à plus de 40 millions d’exemplaires, un film de Wong Kar-wai (My Blueberry Nights), et deux enfants nés en 2014 et juillet 2016, Norah Jones, venue à Paris présenter en concert privé son sixième album Day Breaks, montre qu’elle a mûri sans perdre son grain de voix cuivré, ni la sûreté de son goût musical.

Un album éclectique

Au piano et au chant, qu’elle opte pour une ballade, comme Tragedy, ou une chanson au swing enlevé et à la gaîté ironique, It’s a wonderful time for love, l’artiste démultiplie les styles, du jazz au folk, du blues à la pop et jusqu’aux influences country.

Se risquant même à une chanson politique, Flipside, « inspirée par tout ce qui s’est passé dans le monde et aux États-Unis au cours des deux dernières années ». L’auteur-compositeur-interprète, a tiré de « cette période totalement folle » un groove plus musclé qu’à l’accoutumée. « Hard times/Fine lines/Moments pass by and I cry/Rewind/Step behind/It’s hard to find the flipside (Des temps difficiles/De belles paroles/Les heures passent et je pleure/Rembobinez/Reculez/C’est dur de voir le revers de la médaille) », lance-t-elle.

Dans la tradition des plus grands

Norah Jones, qui a eu le privilège de chanter en duo Here we go again avec Ray Charles en 2004, et I shall be released avec Bob Dylan en 2005, ainsi que de faire une prestation remarquée lors d’un concert d’hommage à l’un des Beatles, George ­Harrison, en 2014, aime se situer dans la tradition des plus grands et s’entourer de musiciens de légende.

Pour ce disque, l’immense saxophoniste Wayne Shorter, 83 ans, l’a rejointe afin d’enregistrer une nouvelle version de la belle chanson d’Horace ­Silver, Peace. Dans ce morceau, l’un des plus grands succès de Norah Jones depuis ses débuts, son vibrato résonne de façon languide, entre berceuse et prière. Et c’est dans l’apaisement que la jeune mère termine cet album abouti, avec une reprise juste fredonnée de Fleurette africaine de Duke Ellington.

Nathalie Lacube

Day Breaks, un CD Blue Note, 17,99 €. En concert, le 11 novembre à Lyon, le 12 à Lille, les 15 et 21 à Paris, et le 16 novembre à Bordeaux.

source: http://www.la-croix.com/Culture/Musique/Norah-Jones-lenchanteresse-2016-10-08-1200794810
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Articles de sites web / [LTG] Norah Jones retaille le bleu velours dans sa nuit ancienne
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Norah Jones retaille le bleu velours dans sa nuit ancienne

La chanteuse est de retour avec «Day Breaks», album qui la voit renouer avec les atours du jazz. Le conte de fées de ses débuts peut-il se répéter?

Norah Jones fait partie du très petit cercle des artistes pop à avoir fait l’unanimité au XXIe siècle autour d’un album. Du vieux fan de jazz qui ne savait plus quoi écouter dans son bain au jeune gandin qui voulait tremper un orteil dans les mixtures bleutées, son Come Away With Me de 2002 mettait tout le monde d’accord. Précédant les succès d’Amy Winehouse et d’Adele, ce disque – de diamant, avec quelque 26 millions d’exemplaires vendus – sauvait au passage un label Blue Note qui avait perdu de son lustre historique. D’un coup de baguette, la fée Clochette, fille illégitime de Ravi Shankar, s’était hissée au sommet.

Près de 15 ans plus tard, alors que sort Day Breaks, son 6e album studio, Norah Jones a démontré qu’elle n’était pas la chanteuse d’un seul succès. Elle a signé d’innombrables collaborations avec des artistes qui rêvaient de voir le nom du prodige figurer sur leurs productions. Même le cinéaste Wong Kar-wai craquait pour elle, l’enrôlant comme comédienne dans son film de 2007, My Blueberry Nights. Bonnie Raitt, Jerry Lee Lewis, Willie Nelson, Herbie Hancock, Wyclef Jean, Keith Richards et encore Charles Lloyd cette année ont dialogué avec celle qui transformait en or tout ce qu’elle touchait de sa voix de cristal.

Un passé entre folk et pop

Ses propres projets ont aussi navigué dans des directions très différentes, d’enregistrements plutôt folk avec The Little Willies à ses tentatives de se poser sur le terrain sans équivoque de la pop – les albums The Fall (2009) et Little Broken Hearts (2012) réalisé dans les parages du producteur Danger Mouse.

Son Day Breaks est annoncé par sa maison de disques comme un retour aux sources. L’accent est mis sur sa coloration très jazz – le géant du saxophone Wayne Shorter, l’organiste Lonnie Smith et le batteur Brian Blade font partie de la fine fleur des musiciens de l’équipe. Si la sobriété instrumentale de cet enregistrement permet, en effet, la comparaison avec ses premiers pas, il ne faut poutant pas oublier que Come Away With Me n’avait rien d’un album de jazz sans partage, mais empruntait aussi beaucoup à l’univers de la country, musique qui fait partie depuis toujours du vocabulaire de celle qui, dès 2003, participait à un projet autour du répertoire de Dolly Parton.

Mais le monde a toujours voulu voir, dans son parcours, un de ces miracles qui ne se produisent presque plus dans le jazz. Plus de quatre ans après son dernier album, Norah Jones cherche donc à se mettre en conformité avec son passé et avec les attentes que son nom n’a jamais cessé de susciter. Que Wayne Shorter lui-même se penche sur le berceau de ce nouveau départ indique bien la volonté, cette fois, de tailler le satin bleu au cœur de l’étoffe. Et pas pour qu’on lui taille un costard… (TDG)


source: http://www.tdg.ch/culture/musique/norah-jones-retaille-bleu-velours-nuit-ancienne/story/23446950
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Articles de sites web / [ELLE] Norah Jones nous envoûte avec son album "Day Breaks"
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Norah Jones nous envoûte avec son album "Day Breaks"

Timbre velouté, piano rétro, chansons suaves : c’est le grand retour aux sources de la superstar de la pop jazz. Avec un album enchanteur illuminé par le saxophoniste Wayne Shorter.

D’elle, le patron du légendaire label Blue Note, Bruce Lundvall, décédé en 2015, disait qu’elle était une « artiste géniale ». Comme pour rendre hommage à celui qui l’a découverte alors qu’elle était serveuse, Norah Jones, 37 ans, mère de deux petits garçons, revient avec son nouvel album, le sixième en solo, à ses premières amours. À la recherche de la note bleue, elle a convié à la fête le vétéran du saxo Wayne Shorter, l’organiste Dr. Lonnie Smith et le batteur Brian Blade, composé neuf chansons, enregistré trois reprises de Neil Young, Duke Ellington, Horace Silver.

Et remis le piano, qu’elle avait délaissé au profit de la guitare pour des albums teintés de folk, de country et de blues, au centre de son univers. « Je l’ai transporté dans ma cuisine, en me disant que ça m’obligerait à jouer, explique-t-elle. Résultat, il est rapidement devenu le meuble où l’on entasse la monnaie, les factures en attente et tout un fourbi. » Le sourire de la chanteuse est radieux, mais le ton, hésitant. Geetali Norah Jones-Shankar, fille du « dieu » indien du sitar Ravi Shankar, disparu en 2012, n’a jamais apprécié la promo.


Une ambition revue à la baisse

La faute au succès phénoménal, en 2002, de son premier album vendu à 27 millions d’exemplaires. Et à l’angoisse suscitée par cette célébrité express, au point que la chanteuse débutante, née à New York et ayant grandi au Texas, avait appelé un jour Bruce Lundvall pour qu’il tente d’arrêter les ventes. « C’était fou et stressant. Soudain, tout le monde te connaît, commente ta musique. Et puis arrivent les haters et là, tu te dis : c’est ça la gloire dont tout le monde rêve ? » Depuis ces débuts fracassants, la carrière de Norah Jones, à son grand soulagement, est revenue à la normale.

Albums salués par la critique, collaborations avec sa demi-sœur Anoushka Shankar ou le chanteur de Green Day... et vie privée verrouillée par ses soins. Lasse des questions des journalistes sur un père absent, la star aux neuf Grammy Awards n’a jamais révélé le prénom de ses enfants, ni l’identité de son compagnon musicien. Elle est désormais « moins ambitieuse qu’avant de devenir célèbre ». Et ne rêve plus que d’amour, de musique et de piano jazz dans sa cuisine.

« Day Breaks » (Blue Note/Universal Jazz), sortie le 7 octobre. Norah Jones sera en 
concert le 15 novembre à la Salle Pleyel, Paris-8e, et le 21 novembre à l’Olympia, Paris-9e.

Cet article a été publié dans le magazine ELLE du vendredi 30 septembre.

source: http://www.elle.fr/Loisirs/Musique/Dossiers/Norah-Jones-nous-envoute-avec-son-album-Day-Breaks-3311569#